De ces nuages éblouissants, pourtant trop chargés de mélancolie...
Elle souffre d'une limite infinie
Car elle n'est que trop rassurée…
Par un soleil qui perce toujours l'horizon
Par un corps qui se plie à tous les caprices de la volonté
Par la robustesse des roches en équilibre sur le fil de la vie

Car elle n'est que trop peu rassasiée…
De ces vides, de ces gouffres sans fond, d'où ne remonte pas un seul espoir
De ces nuages éblouissants, pourtant trop chargés de mélancolie.

Car elle se languit…
Du regard bienveillant du vieux pèlerin
Du bruit du bâton frappant la poussière
De larmes inondant des yeux devant la beauté d'une accalmie

Elle se nomme Liberté,
Ses pieds lui permettent de voler au-dessus du sol,
Le feu de la vie fait pleurer de panique son cœur 
Et le vent dans les feuilles lui chante mille fois l'évasion.

Découvre aussi